Les vaccins de voyage

Nous voici arrivés à l’étape du voyage où il faut mettre à jour notre vaccination. C’est généralement la première étape officielle d’une longue série et celle qui nous fera sans doute sentir que ça y est, le départ est imminent ! Elle doit idéalement se planifier 6 à 3 mois à l’avance. Pour nous, 3 mois suffisait car nous avions déjà les vaccins  qui demandent un délai plus long en raison des rappels. 

Cet article vous offre un aperçu de tous les aspects concernant la vaccination. Rappelez-vous cependant que nous ne sommes pas des pros de la santé et que notre intention est simplement de vous partager notre réflexion et notre expérience sur ce sujet. 

Pourquoi se faire vacciner? 

Ce faire entrer des aiguilles dans le bras, les courbatures des jours suivants, le coût important, les nombreuses démarches et toutes les autres raisons qui vous viennent à l’esprit peuvent vous faire hésiter à vous faire vacciner et c’est compréhensible. De notre côté, nous avons estimé que les avantages dépassent largement les inconvénients. Combien de désagréments inutiles, de risques de santé chroniques, d’inquiétudes (pour nous et nos proches) nous évitons ainsi ? Mais surtout, partir l'esprit tranquille, libre. Cela n’a pas de prix. Car voyager dans des destinations exotiques et reculées nous exposent à des maladies dangereuses, inconnues dans nos hémisphères. Il ne faut pas en faire une maladie mais les risques existent et il est sage de le reconnaître. 

Entendons-nous. Nous ne pensons pas qu’il soit nécessaire de se faire vacciner pour tout et rien. Nous considérons que les soucis de santé font aussi partie de l'expérience. Et qu’il est fort probable que durant un voyage, nous attrapions un rhume, une tourista ou que nous réagissions aux piqûres des puces de sable. Cependant, s’il nous est possible d’éviter des problèmes plus sérieux, nous croyons que cela en vaut la peine. Cela dit, cela reste un choix personnel. 

Comme les spécialistes le disent, Il est sage de se faire vacciner principalement pour les deux raisons suivantes : 

  • Éviter certaines maladies graves 

  • Protéger les populations locales des pays visités des risques épidémiques. 

En général, les vaccins devraient vous protéger dans une proportion d’environ 75% à 95%. Certains vaccins auront une durée de protection à vie tandis que d'autres devront être effectués plus fréquemment.

Le choix des vaccins avant un voyage à l'étranger dépendra de :

  • Votre âge.

  • Vos antécédents vaccinaux.

  • Des critères personnels: état de santé, âge, allergies, traitement en cours, grossesse, déficience immunitaire, etc.

  • Des pays visités. Des obligations réglementaires d'entrée dans le pays 

  • De la durée et nature du voyage (séjour dans des hôtels en ville ou dans des régions rurales éloignées).

  • Du délai avant le départ.

Votre réflexion étant faite, passons maintenant à l’action. 

10 étapes à suivre pour une vaccination réussie :

  1. Vous prendre d’avance. Idéalement 6 mois à l’avance car certains vaccins doivent être faits plusieurs fois sur une intervalle de 6 mois et certains vaccins requis ne sont pas toujours en stock. De notre côté, nous avions déjà les vaccins requérant un délai de 6 mois, donc 3 mois était parfait. Il n'existe pas de calendrier pour l'administration des vaccins commun à l'ensemble des voyageurs. Chaque calendrier doit être personnalisé et dépend d’un ensemble de facteurs. Si cependant vous avez dépassé ce délai, prenez quand même rendez-vous. Des vaccins, des conseils et une prescription de médicaments appropriés peuvent même se faire la veille de votre départ et c’est l’occasion de mettre à jour votre carnet de santé. 

  2. Trouvez votre dernier carnet de vaccination.

  3. Vérifiez les conditions de vaccination dans les pays que vous planifiez visiter. Certains pays exigent des vaccins pour traverser leur frontière, certains pays exigent des preuves de vaccination aux frontières. 

  4. Prévoyez un budget pour vos vaccins. Pour nous, cela a coûté plus de 1000$ pour les deux et nous avions déjà deux vaccins en banque. Cependant, nos assurances santé en ont payé une bonne partie. Il est donc recommandé de vérifier avec vos assurances la possibilité de vous faire rembourser. En outre, il est rare qu’il soit justifié de se faire vacciner contre toutes les maladies. Cela dépend d’un nombre de facteurs. Notez aussi que les vaccins les plus chers, (rage, encéphalite à tiques, encéphalite japonaise, méningite à méningocoques) sont ceux qui sont le moins souvent recommandés. D'où leur prix car la demande est moins grande. 

    Il est possible de faire des économies en passant par des hôpitaux ou des pharmacies plutôt qu’une clinique privée mais nous avons préféré investir afin de s’assurer d’obtenir les meilleurs conseils et une meilleure couverture. 

    Rappelez-vous aussi que tous les vaccins inscrits dans le calendrier vaccinal officiel sont couverts par l’assurance maladie. Dans la liste des vaccins recommandés « spécifiquement » aux voyageurs, seul celui contre l’hépatite B est couvert par l’assurance maladie et l’hépatite A dans des cas exceptionnels. Les consultations dans les centres de vaccinations internationales ne sont pas remboursées.

  5. Prendre rendez-vous pour les vaccins dans un endroit approprié ou vous pourriez être bien conseillés. Vous pourrez choisir votre pharmacien, un médecin mais nous avons choisi une clinique privée spécialisée. Les vaccins n'y coûtent pas plus cher mais vous devrez investir dans la consultation (40$)  mais cela vaut la peine, surtout si vous partez longtemps et dans des zones à risque. Personnellement nous avons été très satisfait de votre visite. 

  6. Faire une consultation et obtenir les vaccins nécessaires. De façon générale, pour la plupart des vaccins, il n’y a pas de contre-indication à se faire vacciner même pendant la prise d’antibiotiques. De même, une infection bénigne sans fièvre, comme le rhume, ou une diarrhée bénigne ne sont pas une contre-indication à la vaccination.

  7. Revenir pour les rappels.

  8. S’assurer d’avoir son carnet à jour. Chaque fois qu’un professionnel de santé vous vaccine, il note dans votre carnet le nom du vaccin, la date de l’injection, le numéro du lot (l’étiquette) et la date du prochain vaccin à faire. C’est un moyen pratique de ne pas oublier ceux qui ont déjà été faits et les rappels qui devront l’être et donc d’être à jour.  Si on ne retrouve pas son carnet, on risque alors de ne plus savoir quels vaccins restent à faire et de ne plus pouvoir certifier avoir fait celui de la fièvre jaune pour passer les frontières des pays qui le demandent. Si vous vous êtes fait vacciner chez votre médecin traitant, il devrait y avoir une trace dans ses archives. Si vous avez définitivement perdu la trace, pas d’inquiétude ! Refaire un vaccin n’est pas plus « dangereux » que de se faire vacciner pour la première fois. 

  9. Faire une copie du carnet, en garder l’original à la maison, partir avec l‘autre. S’assurer de l’avoir avec soi en tout temps en voyage. Il existe une application où vous pouvez avoir vos vaccins sur votre téléphone. plutôt que d’avoir un carnet en papier Carnet santé du Québec.

  10. Avoir avec soi, les médicaments et les prescriptions nécessaires pour la durée du voyage.

  11. Les vaccins

Il existe 3 catégorie de vaccins pour les voyageur : 

  1. Vaccins du PQI, (Protocole d'immunisation du Québec) par exemple le vaccin contre la rougeole.

  2. Vaccins exigés par le Règlement sanitaire international, par exemple le vaccin contre la fièvre jaune.

  3. Vaccins recommandés pour préserver la santé durant le séjour à l’étranger, par exemple le vaccin contre la typhoïde.

Parmi les maladies les plus courantes susceptibles d'être contractées en voyage, l'on retrouve: 

  • la fièvre jaune,

  • la rage,

  • l'encéphalite japonaise,

  • l'encéphalite européenne à tiques,

  • les hépatites A et B,

  • la typhoïde,

  • la méningite,

  • le choléra,

D'autres maladies (la rougeole, les oreillons, la rubéole, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la diphtérie, l'Hemophilus influenzae de type b (Hib) et la varicelle) peuvent se produire dans les pays en développement toutefois, les voyageurs des pays industrialisés les contractent rarement étant donné qu'ils ont déjà été immunisés contre ces maladies pendant leur enfance. Voici un aperçu des principaux vaccins que vous pourriez recevoir pour votre voyage: 

Fièvre jaune:

La fièvre jaune est présente dans la majorité des pays d’Afrique et d’Amérique latine, (surtout en Afrique). Cette maladie se transmet par des piqûres d'insectes infectés. Certains pays recommandent la vaccination tandis que d'autres vont l'exiger. Dans la majorité des cas, la fièvre jaune ne provoque pas de symptôme et l’on en guérit sans se rendre compte. Quand les symptômes apparaissent (fièvre, nausée, vomissement, céphalée), ils disparaissent au bout de 3 ou 4 jours. Cependant, dans une minime proportion, la maladie devient plus sévère (atteinte du foie et des reins. La peau et les yeux jaunissent, d’où le nom de cette maladie). La moitié des malades qui arrivent à cette phase en meurt. 

La rage :

Cette maladie est due à un virus présent dans la salive des animaux infectés. Elle se transmet par une blessure causée par la morsure d'un animal infecté, par le léchage sur une plaie ou une muqueuse ou par griffure. Tous les mammifères peuvent être porteurs mais le chien, la chauve-souris, la moufette, le chat, et le raton laveur sont les principaux. On n’a rarement la possibilité de s’assurer que l’animal en cause est vraiment porteur. Il faut donc toujours se faire traiter au plus vite. Le vaccin immunise dans la majorité des cas, mais un risque peut subsister. En cas d’exposition ou même de soupçon de contamination, même si l’on a été vacciné, on doit subir un traitement le plus rapidement possible. 

Le virus provoque une fièvre et affecte le cerveau. La période d’incubation est généralement d’un à deux mois mais peut être de moins d’une semaine. Une fois que les symptômes se déclarent, c’est trop tard, l’issue en est toujours fatale. Si l’on est traité avant d’avoir des symptômes, on guérit toujours de la maladie sans en subir aucun symptôme. 95 % des cas mortels dans le monde sont en Asie et en Afrique. La protection est maintenue plus de 10 ans. Le vaccin n’est pas pris en charge par l’assurance maladie. 

L’encéphalite japonaise 

L’encéphalite japonaise est due à un virus du même type que celui de la dengue et de la fièvre jaune. La plupart des cas sont bénins. Les personnes infectées ont de la fièvre, des maux de tête, ou n’ont aucun symptôme apparent. Dans certains cas la maladie s’aggrave brutalement (encéphalite). 

La maladie est transmise par la piqûre de moustiques infectés dans certains pays d’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental. Elle est surtout présente en milieu rural, tout particulièrement de riziculture et où l’on trouve des cochons. En effet, le moustique se contamine en piquant d’abord un mammifère infecté. Elle est présente toute l’année dans les régions tropicales, mais surtout en période des pluies et en été dans les zones tempérées. Les voyageurs sont rarement atteints par cette maladie. Le vaccin n’est recommandé qu’à ceux qui comptent séjourner longtemps dans les zones à risque et pendant les périodes les plus à risque et qui ont une activité en plein air importante.

Environ 30 % de ces cas graves en meurent, parmi les 70 % restants, environ 15 à 20 % en gardent des séquelles neurologiques. Il n’existe aucun médicament agissant directement contre la maladie. On ne peut que soulager les symptômes. La vaccination doit être commencée au moins quatre semaines avant exposition. Une dose de rappel est recommandée pour l’adulte un an à 24 mois après la vaccination. Le vaccin n’est pas pris en charge par l’assurance maladie, mais il l’est par certaines assurances.

L’encéphalite à tiques 

Cette maladie est due à un virus transmis par des piqûres de tiques infectées. Les zones à risque sont surtout dans les zones rurales ou boisées, du printemps à l’automne, dans des coins de basses altitudes. (Europe de l’est, Russie, Nord de la Chine, Mongolie, Corée du Sud, Japon, Kirghizstan, Mongolie). Les premiers symptômes sont similaires à ceux de la grippe. Si une encéphalite se déclare (dans le tiers des cas)  cela signifie que le cerveau est atteint. S’ensuivent alors un trouble psychique et de l’équilibre. 1 à 2 % des patients atteints d’encéphalite en meurent et 10 à 20 % gardent des séquelles neurologiques. Il n’existe pas de traitement, on peut simplement soulager les symptômes. Trois injections sont nécessaires pour une protection de trois ans. Il faut donc la prévoir 6 mois avant le départ. 

L’hépatite A et B 

Combinaison de l’hépatite A et B (Twinrix®) Vaccination en tout temps. 1ère dose à la date choisie, 2ème dose 1 mois après, 3ème dose 6 mois après.

Hépatite B

Infection virale du foie qui peut nécessiter un traitement à vie en cas d’infection chronique. 5 % des adultes (en bonne santé) infectés développent par la suite une infection chronique. 20 à 30 % des adultes avec une infection chronique font par la suite une cirrhose ou un cancer du foie. Se transmet de la mère à l’enfant. Aiguille non stérilisée (seringue, tatouage, piercing…). Sang, salive, sécrétions vaginales et séminales, rapports sexuels hétérosexuels et homosexuels.

Hépatite A

Il s’agit d’une maladie du foie qui peut être bénigne comme grave. Son taux de mortalité est très faible : 0,004 %. Presque toutes les personnes infectées en guérissent complètement. Elle est asymptomatique  de 20 à 30 %. Selon les cas, l’hépatite A peut provoquer de la fièvre, la perte d’appétit, des diarrhées, des nausées, une gêne abdominale, des urines foncées et un ictère (coloration jaune de la peau et du blanc de l’œil). La convalescence peut durer plusieurs semaines ou plusieurs mois. Une fois guéri, on est immunisé à vie. La maladie est présente partout dans le monde, mais bien plus fréquente dans les pays « à faible niveau sanitaire et hygiénique ».  La transmission est féco-orale. On l’attrape essentiellement par ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par les matières fécales d’un individu infecté.

La typhoïde: 

Cette maladie a presque totalement disparu dans les pays industrialisés. Elle est cependant encore courante dans les pays où les réseaux d’assainissement et l’hygiène sont plus précaires. Il s’agit d’une infection causée par des bactéries. On l’attrape le plus souvent par ingestion d’eau ou de nourriture contaminée par des matières fécales humaines ou directement de personne à personne. Une faible proportion des individus qui guérissent d’une fièvre typhoïde peut continuer d’héberger le virus et donc le propager.

Ses conséquences peuvent être bénignes comme graves. Cette maladie, dont les symptômes peuvent durer plusieurs semaines, cause notamment une fièvre forte et continue, des douleurs abdominales avec diarrhée ou des constipations et elle peut entraîner, dans les formes les plus graves, des complications au cœur, aux intestins, ou au système nerveux. Dans les formes graves et en l’absence de traitement, ou quand la souche du virus est résistante aux antibiotiques, le taux de mortalité est de 10 %. Si la maladie est bien traitée, le taux de mortalité se réduit à 1 %. Une dose doit être donnée au moins 15 jours avant le départ. Efficace trois ans, un rappel est ensuite nécessaire en cas de nouveau voyage dans une zone à risque. 

La méningite à méningocoques:

La maladie est présente partout dans le monde, mais c’est dans la zone du Sahel, entre le Sénégal et l’Éthiopie que la maladie sévit le plus. Les méningites peuvent avoir plusieurs causes (virus, bactéries, champignons). On parle de méningite à « méningocoques » quand elle est provoquée par les bactéries du même nom. La maladie est transmise d’homme à homme par la salive et les sécrétions respiratoires (baiser, postillons, éternuement, toux…). Elle cause une infection de la membrane qui recouvre le cerveau et/ou une septicémie (infection du sang). Elle provoque un mal de tête violent, de la fièvre, des vomissements et différents signes neurologiques. Elle est mortelle dans 50 % des cas sans traitement et dans 5 % à 10 % des cas, même quand la maladie est traitée rapidement avec des soins de qualité.  Parmi ceux qui survivent, près de 20 % en gardent des séquelles neurologiques à vie. Le risque est faible pour le voyageur. Le vaccin n’est recommandé qu’à ceux qui comptent séjourner longtemps dans la ceinture du Sahel et avoir des contacts très rapprochés avec la population locale sur une longue période. Il existe plusieurs vaccins contre la méningite à méningocoques. On connaît 12 types de méningocoques. Chacun de ces types est qualifié par une lettre différente et nécessite un vaccin différent. Tous les types ne sont pas à risque partout de la même façon. Une seule dose de vaccin est efficace pendant 5 ans.

Le choléra et la diarrhée du voyageur:

Le Dukoral est une vaccination contre le choléra recommandée pour les voyageurs. Le vaccin est administré oralement en deux doses : une prise jusqu’à six semaines avant le départ et la seconde prise au moins une semaine avant le voyage. Il offre une protection une semaine après l’immunisation et est efficace dans jusqu’à 85% des cas de choléra et 25% des cas de diarrhée du voyageur. La vaccination protégera contre la diarrhée du voyageur pour jusqu’à 3 mois et de l’infection au choléra pour deux ans. Une simple dose rappel chaque trois mois est recommandée pour les voyageurs qui restent dans une destination à risque pour une plus longue période de temps.

La démarche de consulter un spécialiste en santé voyage est particulièrement importante si vous voyagez avec des enfants en bas âges, si vous êtes enceinte ou si vous avez une condition médicale particulière. 

5 avantages à aller dans une clinique santé voyage :

  1. Couverture: Une clinique santé-voyage vérifiera votre carnet de santé personnel et fera un bilan des vaccins déjà reçus et des rappels nécessaires à recevoir s'il y a lieu. 

  2. Conseils: On prendra le temps de discuter de vos préoccupations en matière de santé liées à votre voyage et d'évaluer vos besoins en fonction de votre destination et des activités prévues. On y sera mieux conseillé car c’est un médecin ou une infirmière spécialiste des maladies en voyage qui vous rencontrera. 

  3. Prescriptions: Ils pourront aussi vous donner des prescriptions pour des besoins particuliers comme une Épipen pour les allergies. 

  4. Fièvre Jaune: Pour des raisons de sécurité et de conservation, le vaccin de la fièvre jaucne ne peut être prescrit, délivré et administré que dans un centre de vaccination qui possède l’habilitation donc, plusieurs pharmacies, cliniques et hôpitaux ne pourront vous administrer ce vaccin.  En allant à une clinique de voyage, vous éviterez ainsi de devoir aller à deux endroits si vous devez l’obtenir.  

  5. Maladies sans vaccins : Ils pourront aussi vous conseiller sur les maladies tropicales pour lesquelles il n’existe pas de vaccin comme le paludisme, la dengue ou le chikungunya.

Rappelez-vous, cependant, que ce n'est pas l’option la moins chère. Nous avons tout de même évalué que cela en valait le prix. 

Voilà, j'espère que cet article vous aura été utile dans votre démarche de vaccination. Il ne nous reste qu’à vous souhaiter un bon voyage en santé!

Nous vous recommandons chaudement la clinique santé voyage de la rue Papineau. Nous avons eu de très bons conseils de l’infirmière Mélissa qui a passé près d’une heure avec nous. Elle nous a même envoyé une carte détaillée des zones à risque de paludisme pour les régions que nous allons visité. 

https://www.cliniqueduvoyageur.com/

4689 Av. Papineau, suite 101 Montréal, QC H2H 1V4 

(514) 521-0630

***** Nous ne sommes ni affilié, ni associé et nous sommes pas rémunéré par la clinique du voyageur. Nous recommandons la clinique du voyageur uniquement suite à l’excellent service reçu.*****